"En
vérité, Je sais ce que vous ne savez pas !"
Que personne ne lise ces lignes s’il ne croit en Dieu. De toute façon, Dieu ce n’est pas moi. Aussi
n’étant pas Dieu, je ne vous oblige en rien. Dieu, il faut y croire pour le
voir. Dans cet article, il faut voir pour y croire. La démarche significativement
différente, démontre davantage que je ne suis pas Dieu. Aussi, cet article n’ayant rien d’éternel ou de
sacré. Vous pouvez le tordre, le brûler, le contredire à volonté, sans subir
les foudres divines ni ici-bas ni dans l’au-delà. D’ailleurs je vous invite à
le faire pour exorciser l’ardente envie de votre psyché spirituelle d’en découdre
avec un quelconque texte sacré.
Ceci me rassure moi-même sur le devenir de mes écrits qui ne pourront
servir à aucune secte pour aller chercher une vérité pour ses adeptes. Je n’en
déclame aucune, n’en détiens pas un pouce et ne saute pas sur les toits des
mosquées, des églises et des synagogues pour en pérorer à ma guise. Et
pourtant, ne sachant rien de rien, j’ai quelque chose à dire. Aussi, comme
affirmé plus haut ce ne sera pas divinement dit, pour que vous n’ayez pas le
fatal élan d’y croire.
Mais
n’étant point Dieu et ne détenant aucun atome de son omniscience, je ne
peux cependant, en tant qu'humain miné par la raison et façonné à la
souffrance d'une condition humaine, me poser des questions qui exorciseraient mon mal de conscience:
pourquoi les innocents meurent-ils de force et de désespoir dans ce
monde? Et frénétiquement mon "moi", en souffrance, torture mon "je"
faible et misérable dans ce "nous", de lâcheté et de couardise face à ce
"ils" mondial de puissances et de mort qui écrasent les corps et
martyrisent les âmes.
Pourquoi les enfants de Gaza meurent-ils sous les bombes ?
"Pourquoi les
enfants de Gaza meurent-ils sous les bombes...."
Que nul ne lise ces
mots….
Que nul ne lise ces
mots s'il ne souhaite plonger dans une réflexion profonde, à la croisée des
questionnements humains et divins. Certes, je ne suis pas Dieu, et nulle
prétention divine ne guide mes pensées. En tant qu'être limité, je ne vous
impose rien. La croyance en Dieu requiert souvent des yeux particuliers pour
discerner sa présence au milieu du chaos. Tout comme dans cet article, où il faut
voir pour croire.
L'actuelle tragédie qui
se déroule à Gaza soulève des interrogations douloureuses, et la question
cruciale persiste : pourquoi tant d'innocents, notamment des enfants, sont-ils
victimes des horreurs de la guerre, sous le feu des bombes destructrices ? Certains
pourraient se demander pourquoi Dieu n'intervient-il pas pour mettre
fin à cette souffrance.
La réponse, bien que
délicate, n'émane pas d'une prétendue omniscience, car je ne suis point Dieu.
Toutefois, l'on peut avancer que l'humanité, dotée du libre arbitre, forge son
destin. Les conflits résultent des choix humains, des rivalités politiques, des
intérêts économiques et des désaccords idéologiques. Dieu, s'il est là,
n'impose pas ses volontés sur la volonté des hommes.
Certains pourraient se
demander pourquoi Dieu n'intervient pas directement pour sauver les enfants de
Gaza. La question s'étend au cœur même de la nature divine et de la foi.
Certains croient en un Dieu qui offre la liberté de choisir, même si cela signifie
permettre des actes cruels. D'autres estiment que Dieu, dans sa sagesse
infinie, laisse à l'humanité le soin de résoudre ses propres conflits, tout en
offrant la possibilité de rédemption et de transformation.
Il est crucial de
rappeler que mes pensées ne sont pas énoncées divinement, mais humainement, à
partir de la perspective d'un être limité. Cependant, dans ce monde empreint de
douleur, il existe des actions humaines, des solidarités, des secours médicaux,
des efforts diplomatiques, qui témoignent de la compassion et de la possibilité
de changer le cours des choses.
Alors que la souffrance
des enfants de Gaza persiste, chacun de nous, en tant qu'êtres humains, peut se
demander quel rôle il peut jouer pour alléger le fardeau de ceux qui souffrent.
Dans cette réflexion, le divin et l'humain s'entremêlent, invitant chacun à
agir selon ses convictions, mais surtout à agir avec humanité.
Pourquoi les enfants de Gaza meurent-ils sous les bombes ?
N'étant pas
Dieu... et ne détenant aucune parcelle de son omniscience, comment aborder cette
question cruciale : pourquoi les enfants de Gaza périssent-ils sous les bombes?
La réponse, aussi délicate soit-elle, nécessite un regard sans prétention divine.
Les conflits humains, marqués par des intérêts politiques, des divergences
idéologiques et des rivalités territoriales, engendrent des violences
insoutenables. L'innocence des enfants devient souvent la victime collatérale
de ces affrontements, laissant des familles dévastées et des vies brisées.
Le silence divin face à
ces tragédies peut susciter des interrogations profondes quant à la
compréhension de la nature de Dieu. Certains peuvent se demander pourquoi un
Dieu compatissant ne prévient pas ces souffrances, ne protège pas les plus
vulnérables. La réponse, bien que difficile à accepter, pourrait résider dans
la conception de la liberté humaine et de la responsabilité individuelle. Si
Dieu intervenait directement pour mettre fin à chaque injustice, cela
annulerait la libre volonté humaine, rendant ainsi obsolète le concept même de
choix moral.
Cela dit, l'inaction
divine ne doit pas justifier l'indifférence humaine. En dépit de l'absence de
miracles célestes, l'empathie, la solidarité et l'action concrète demeurent des
réponses possibles aux souffrances de ceux qui endurent les affres des conflits.
Plutôt que d'attendre une intervention divine miraculeuse, la responsabilité de
protéger les enfants de Gaza et de tous les enfants du monde incombe à
l'humanité elle-même. La compassion et l'action peuvent être les voies par
lesquelles nous, en tant qu'êtres humains, œuvrons pour créer un monde où la
tragédie des enfants sous les bombes deviendra une relique du passé.
Que personne ne lise
ces lignes….
Que personne ne lise ces lignes s'il ne se
questionne sur la tragédie qui frappe les enfants de Gaza. De toute évidence,
je ne suis pas la voix divine, mais plutôt un simple observateur cherchant à
comprendre. Tout comme la question de l'existence de Dieu, la situation à Gaza
exige une réflexion approfondie.
Il est aisé de se
demander pourquoi, dans ce coin du monde, des enfants innocents périssent sous
le poids des bombes, tandis que le ciel semble silencieux face à ces atrocités.
Il est crucial de reconnaître que la réponse à cette question est complexe et
ne peut être réduite à une explication simpliste.
En premier lieu, la
politique et les conflits régionaux contribuent à l'instabilité de la région.
Les enjeux géopolitiques complexes ont engendré des tensions persistantes,
conduisant à des cycles de violence qui touchent inévitablement les civils,
dont de nombreux enfants. Les réalités politiques de la région ont des
répercussions dramatiques sur la vie quotidienne des habitants de Gaza, créant
un contexte propice aux tragédies.
Quant à la question de
l'intervention divine, il est essentiel de reconnaître que la compréhension de
Dieu est profondément subjective. Les croyances religieuses varient
considérablement, et chacun a sa propre vision de la divinité. Certains peuvent
se demander pourquoi Dieu n'intervient pas pour protéger les enfants de Gaza,
remettant en question la nature même de la foi.
Cependant, il est
important de noter que la foi ne peut être imposée. Tout comme je ne peux
exiger la croyance en mes propres mots, la foi en Dieu est une démarche
personnelle. Les événements tragiques à Gaza peuvent susciter des
interrogations profondes sur la nature de la foi et sur la manière dont les
croyants concilient la souffrance humaine avec la croyance en un Dieu
bienveillant.
Dans cette quête de
compréhension, il est crucial de reconnaître nos propres limites en tant
qu'observateurs. Tout comme je ne prétends pas détenir une parcelle de
l'omniscience divine, nous, en tant qu'êtres humains, serions limités dans notre
compréhension du monde qui nous entoure. Fatalisme, qui n'emporte pas mes conviction de son contraire.
La question de la
souffrance des enfants de Gaza sous les bombes ne peut être traitée avec
légèreté. Elle nécessite une réflexion profonde sur les réalités politiques,
les conflits régionaux, et la complexité des croyances religieuses.
Dans cette démarche,
nous devons rester conscients de notre propre humilité et de notre incapacité à
saisir pleinement les desseins divins, le cas échéant. Comme je l'ai souligné
précédemment, ce ne sera pas divinement dit, mais cela reste une tentative humaine
de comprendre "l'incompréhensible."
Et pourtant, malgré ces
réflexions, le mystère persiste. Les regards sont tournés vers le ciel,
cherchant des réponses à une question qui semble dépasser notre compréhension
terrestre. Pourquoi ces enfants, innocents et vulnérables, sont-ils les
victimes directes et collatérales de conflits qui les dépassent ?
La complexité des
événements à Gaza échappe souvent à notre entendement limité. Les enjeux
politiques, les intérêts divergents, les rivalités ancestrales s'entremêlent
dans une toile complexe qui tisse la destinée de cette région tourmentée. Les
enfants, eux, n'ont pas choisi ce destin. Leurs rires étouffés sous les débris
et leurs regards perdus témoignent d'une innocence abîmée dans les soubresauts
d'un monde qui peine à trouver la paix.
Face à ces réalités
brutales, l'absence apparente de l'intervention divine soulève des questions
existentielles. Certains peuvent se demander si Dieu observe en silence, c’est
que c’est une volonté divine
incompréhensible à nos esprits humains. Les croyants peuvent ressentir une
tension entre leur foi en un Dieu aimant et compatissant et la cruauté
manifeste qui se déroule sous le ciel de Gaza.
Pourtant, dans ce
tourbillon de questions sans réponse, émerge peut-être une invitation à la
réflexion collective.
Peut-être que la souffrance des enfants de
Gaza devrait nous unir dans un effort commun pour rechercher des solutions
pacifiques, promouvoir la compréhension mutuelle et remettre en question les
systèmes qui perpétuent la violence.
Mais pourquoi ont-ils à
souffrir pour nous, pourquoi ces corps d’innocents déchiquetés pour nous
interpeller dans le sang et l’horreur ? Mais où est le Dieu d’Occident et
d’Orient ?
Dieu aurait-il
abandonné depuis longtemps l’humain à son sort, ou en a été-t-il toujours
ainsi?
Il est indéniable que
la situation à Gaza est le résultat de choix humains, de décisions politiques
et de conflits qui perdurent depuis des décennies. Les enfants, en tant que
symboles de vulnérabilité, devraient être au cœur de notre engagement à construire
un avenir où la paix prévaudra sur la guerre, où la compassion remplacera
l'indifférence. Or ils sont sous les décombres et nous observons les gravas en
invoquant le Divin.
Certes, la réponse à la
question initiale semble échapper à notre portée, mais peut-être que la
véritable quête réside dans notre capacité à agir en tant qu'agents de
changement, à défendre la dignité humaine et à œuvrer pour un monde où les
enfants ne connaissent plus la terreur des bombardements.
En fin de compte, la
compréhension de ces tragédies demande non seulement une introspection sur la
nature de la foi et de la divinité, mais également un engagement envers la
justice, la paix et la compassion. En agissant ainsi, peut-être, un jour, les
enfants de Gaza ne seront plus pris au piège de la violence, mais pourront
vivre dans un monde où la lumière de l'espoir l'emporte sur l'obscurité des
conflits.
Dans notre quête de
réponses, ne perdons pas de vue le pouvoir de l'unité. Les voix qui s'élèvent
pour la paix peuvent devenir des instruments puissants de changement. En tant
qu'êtres humains, nous partageons une responsabilité collective envers ces enfants
qui meurent, dont les rêves sont brisés avant même d'avoir pu prendre leur
envol.
Que personne ne lise
ces lignes….
Que personne ne lise
ces lignes sur la question de la divinité et de son apparente absence face à la
souffrance humaine demeurant une énigme que nous ne pouvons pas résoudre . Cependant, il est dans notre pouvoir de façonner notre réalité
terrestre. Ne sommes-nous pas tous dépositaires d'une responsabilité envers nos
semblables, quelle que soit leur origine ?
Face à l'injustice, la
compassion peut être notre guide. Plutôt que de chercher des réponses divines
dans le ciel, peut-être devrions-nous regarder en nous-mêmes, trouver la force
de créer un monde où les enfants de Gaza et d'ailleurs ne soient plus victimes
de la brutalité des conflits.
Il est peut-être temps
de transcender nos différences, de tendre la main à l'autre, de dépasser les
frontières tracées par l'histoire et la politique. En unissant nos forces, en
agissant de concert pour la paix, nous pourrions poser les fondations d'un
avenir où les enfants grandiront sans craindre le bruit des explosions, où leur
rire résonnera plus fort que le fracas des armes.
La situation à Gaza
exige une réponse humaine, non divine, une réponse empreinte de solidarité et
de compréhension. Plutôt que de déplorer l'absence supposée de Dieu,
concentrons-nous sur notre capacité à être les agents du changement que le
monde attend désespérément.
Chaque geste de paix,
chaque acte de solidarité, peut-être une pierre ajoutée à l'édifice d'un monde
meilleur. Les enfants de Gaza ne doivent pas être condamnés à un destin de
souffrance perpétuelle. Ils méritent un avenir où leurs rires résonneront, où leurs
rêves seront protégés, et où la paix sera plus qu'un espoir lointain.
Au-delà des questions
théologiques, nous sommes tous appelés à agir dans l'ici et maintenant.
Que nos actions parlent
plus fort que nos interrogations, que notre engagement envers la paix soit la
réponse que nous offrons à ceux qui souffrent. Car dans chaque geste de
solidarité, dans chaque effort pour la paix, nous pouvons être les artisans
d'un monde où les enfants de Gaza, et de partout ailleurs, peuvent enfin
connaître la sécurité, la joie et l'espoir.
La réponse se trouve
peut-être dans un verset coranique : « Dieu
ne change la condition des hommes que s'ils ont la volonté de la changer. »
Cela soulève une perspective complexe. Est-ce que l'humanité, dans son
ensemble, a la volonté de changer les conditions qui mènent à de tels conflits
meurtriers? Les guerres et les violences qui perdurent dans le monde semblent
indiquer le contraire.
Pourtant, la souffrance
des enfants de Gaza, pris au piège de conflits qui les dépassent, suscite
inévitablement des interrogations sur la présence divine. Pourquoi Dieu
permet-il de telles atrocités? La réponse pourrait résider dans la notion de
libre arbitre accordé à l'humanité. Dieu ne force pas les hommes à agir d'une
certaine manière, laissant ainsi place à la responsabilité humaine.
Cependant, cela soulève
une question éthique fondamentale : jusqu'où peut-on laisser l'humanité agir de
manière destructrice sans intervention divine?
Il est crucial de noter
que ces réflexions ne cherchent pas à justifier l'injustifiable ni à trouver
une explication facile aux tragédies humaines. Elles mettent en lumière les
paradoxes de la foi et la complexité des relations entre Dieu et l'humanité. La
souffrance des enfants de Gaza interroge notre compréhension de la providence
divine, mettant en lumière le défi constant entre la foi en un plan divin et la
réalité d'un monde souvent marqué par la cruauté.
En fin de compte, la
question persiste : pourquoi Dieu n'intervient-il pas pour protéger les plus
vulnérables? Peut-être que la réponse réside dans le fait que Dieu attend de
l'humanité qu'elle soit le vecteur du changement. En tant qu'être dotés de libre
arbitre, c'est à nous de créer un monde où la paix et la justice prévalent, un
monde où les enfants de Gaza ne meurent pas sous les bombes. La responsabilité
nous incombe, et c'est là que la volonté de changer doit émerger, non seulement
individuellement, mais collectivement, pour que le cri des innocents trouve
écho dans nos actions, redéfinissant ainsi le rôle de l'humanité dans le
dessein divin.
La réponse serait-elle
déjà, depuis des millénaires donnée dans le fameux précepte biblique : « Aide-toi
et le Ciel t’aidera » et dans le Saint coran où le divin interpelle les
humains : « Dieu ne changera la condition des hommes que s’ils la
changent eux-mêmes", que s’ils décident de la changer eux-mêmes, par l’acte
et le geste, et non point seulement par la parole. Une Parole qu’emporte un vent d’injustice
et d’hégémonie qui souffle sur le monde et qui emporte par fournées entières les
âmes innocentes, à Ghaza .
Tournés vers le ciel
pour implorer Dieu d’arrêter leur martyr, les sacrifiés de Ghaza, n’y voient
encore que des pluies de bombes qui les écrasent. Des bombes fabriquées par des
humains pour exterminer des humains , dans une rage extrême, Dieu y serait-il
pour quelque chose ?
Je
ne suis pas Dieu,
ses voies sont infinies, les miennes sont bien limités à croire que si
Dieu le
voulait bien , il pourrait arrêter tout cela. Et il savait tout cela ,
puisque
au verset 30 de sourate El baqara et face à l’interpellation des anges
sur l’exil
d’Adam sur terre, qui inaugure l’homme dévastateur et sanguinaire. Sa
miséricorde répondit : « je sais ce que vous ne savez pas. »
« Lorsque Ton
Seigneur confia aux Anges: « Je vais établir sur la terre un vicaire (khalifah)
». Ils dirent: « Vas-Tu y désigner celui qui y mettra le désordre et répandra le sang,
quand nous sommes là à Te sanctifier et à Te glorifier ? » - Il dit: « En
vérité, Je sais ce que vous ne savez pas ! » (verset 30 de sourate El baqara )
Dieu sait. Dieu savait
que les enfants de Ghaza , se meurent. Et nous ne pouvons savoir plus qu’il
ne sait. Mais ce que l’on sait, à notre atomique échelle, c’est que les enfants
souffrent, ici-bas, l’enfer bien avant le paradis.
Que nul ne lise ces
lignes…
Que nul ne lise ces lignes s'il ne croit en
Dieu.
De toute façon, Dieu, ce n'est pas moi.
N'étant pas Dieu, je ne vous oblige en rien. Il faut croire en Dieu pour le
voir. Dans cette triste réalité, il faut voir pour y croire. La démarche
significativement différente démontre davantage que je ne suis pas Dieu. Ce
constat, bien que difficile à accepter, soulève une question douloureuse :
Pourquoi les enfants de Gaza meurent-ils sous les bombes, et pourquoi Dieu
n'intervient-il pas?
ELY Mustapha