Dîtes-le haut et fort. Avec respect et tolérance . Dîtes-le haut et fort avec humour, satire, sérieux... Qu'importe, dîtes-le pourvu que votre voix soit entendue pour le bien de ce pays et pour que jamais votre conscience, face au fait accompli, ne vous dise: "vous auriez pu le dire..." haut et fort!
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Nos felicitations Prof,continuez sur ce chemin.On se fera un réel plaisir de vous lire comme toujours.
RépondreSupprimercher monsieur
RépondreSupprimerquelle fut ma surprise de découvrir que haut-et-fort est deux fois plus visité que canalh! les stat de berberus prenaient compte le nombre de commentaires mais pas les visites
vous obtenez 4
canalh 2 comme kassataya 2
cridem et taqadoumy: 5 le tout sur une échelle de 1 à dix
voici le lien: " http://www.rankall.123.fr/#"
il suffit de mettre le nom du site et envoyer
bôjôr
RépondreSupprimerj'ai dû toute de suite écrire un petit papier, j'ai envoyé cela à cridem mais d'ici qu'il me censure autant prendre les devants et publier la chose avant d'aller dormir
j'ai donc dû activer
www.chezvlane.blogspot.com
j'aurais dû mettre cela chez veyavi lol on verra ça demain inchallah le blog est en construction
si ça intéresse quelqu'un
cliquez ici
ciao ciao
censuré sur cridem
RépondreSupprimerA monsieur Goldstein à propos de son imposteur et leur récup de notre misère
Cher monsieur
Permettez à un ami des artistes plasticiens, soucieux de leur trajectoire artistique et ayant passé 5 années quotidiennement parmi leur talent, de vous prier de rester loin de leur univers. Soyez gentil de ne pas infester leur imaginaire et leurs possibilités artistiques en vous autorisant, on ne sait trop de quel droit d’ailleurs sinon celui de l’arrogance financière, à leur envoyer pour « maître » un artiste mineur de cette vague rachitique de l’art contemporain qui , dieu merci, s’essouffle partout en occident.
On comprend mieux d’ailleurs qu’il faille trouver dans les meilleurs délais un point de chute à de pareils copinages comme on en trouve partout dans la « coopération » qui n’est souvent qu’un nid de planqués fuyant la France au nom de l’amour de l’Afrique. Cet amour n’est hélas souvent que l’alibi funeste qui permet en l’occurrence à des incompétents d’infester l’imaginaire des jeunes africains en les mettant sous le dictat de l’imposture qui détient les fonds de la coopération orientée souvent vers les intérêts du coopérant au détriment de ceux de l’indigène.
Votre richard Di Rosa dont vous faites grand cas, vous et d’autres c’est-à-dire les has been de la vision artistique, votre richard Di Rosa donc : qui est-il pour venir enseigner quoi que ce soit aux artistes plasticiens mauritaniens ? Il suffit de deux clic sur google pour les néophytes pour découvrir que ce monsieur n’a rien à enseigner à quiconque ici surtout pas en ce qui concerne la récupération des ordures.
D’ailleurs, nous faire venir un Di Rosa alors que nos voisins sénégalais et maliens pourraient lui faire la leçon c’est tout de même là un mépris profond des africains ! Pourquoi ne pas leur envoyer un maître ou deux de l’art universel classique sans lequel rien ne germe droit pas même ces ailes pleines d’ordures dont il compte faire une poésie d’acier… tu parles !
Toujours les grands mots de l’art dit contemporain, art où le chef-d’œuvre peut être concurrencé par n’importe quoi. Votre Di Rosa est sans doute un maître de cet art mineur qui n’a de l’art véritable que le diminutif. Ailleurs en occident et même plus loin il a pu profiter de cette vague où les imposteurs, les naïfs et le premier venu pouvaient briller parce que l’air du temps était à n’importe quoi ou parce qu’ils sont, ou ont été, les invités de marque d’un pote ou d’un gloseur de l’art moderne. Un gloseur, avec toujours l’esprit plein de références et de grands mots, qui comme un camelot peut vendre du toc à des innocents toujours impressionnables par n’importe quoi pourvu qu’il soit cautionné par un parcours quelconque ou un pote ayant suffisamment d’amis pour mettre son protégé à l’abri du ridicule...
...J’entends d’ici les « c’est intéressant » mot magique des vernissages où personne n’osant dire « c’est nul » chacun apprend à le penser en disant « c’est intéressant ». Je vois d’ici toute la haute société des diplomates autant dire de la langue de bois et quelques paumés et oisifs du coin s’incliner questionner et même acheter pour fuir au plus vite ou rester le temps d’un pose nécessaire pour passer le temps car ce monde-là s’ennuie à périr à Nouakchott. Et on le comprend.
RépondreSupprimerC’est là qu’interviennent les marchands de tocs, les escrocs et tous ceux qui vivent de ce grand mot devenu vide « l’art contemporain ». Ceux qui en vivent chez nous, ce n’est que rarement les artistes plasticiens mais toujours cette armada de vautours qui vivent de la culture en les exploitant.
C’eût été encore supportable si l’exercice malsain et nauséabond permettait aux artistes d’en profiter d’une manière ou d’une autre c’est-à-dire d’en profiter au moins comme en profitent ceux qui vivent de l’articulation de ce monde-là. Or il n’en est rien : Chaque fois que les artistes sont sollicités c’est toujours pour servir les bourreaux de la culture qui profitent de leur condition pour justifier leur profession.
Non ! monsieur ! N’infestez pas l’imaginaire des jeunes artistes mauritaniens avec de tels exemples qui ne font plus recette même chez eux. Diable ! Devrons-nous toujours subir la tyrannie des imposteurs et du copinage dans le monde de la culture. Les artistes devront-ils toujours être les dindons d’une farce culturelle qui sert l’apéro du vernissage et le pied-à-terre du repris de l’art comme d’autres de la Justice.
Non merci monsieur ! si vous avez des sous à mettre au service des arts plastiques mauritaniens, soyez gentil de ne pas livrer les jeunes artistes à des artistes mineurs d’un art à bout de souffle qui partout ne représente plus rien. Permettez-leur de voir l’excellence puisque vous travaillez au service de l’aura d’une grande nation.
Oubliez donc vos goûts personnels et vos amis et pensez plus grand d’abord au nom de la Mauritanie qui mérite plus de considération et ensuite de la France qui mérite moins de tâches quand on parle et qu’on agit de près ou de loin en son nom ou du moins au nom d’un certain esprit français qui encore par ici représente le bon goût présumé.
Or dieu ! voyez donc les œuvres de votre Di Rosa ! n’est-ce pas là de quoi faire moins de bruit et plus d’excuses surtout quand vos services se permettent de mettre en place des ateliers de sculpture dans des conditions terrifiantes sous prétexte que les africains ont l’habitude de travailler sans masque dans des salles à peine aérées où l’odeur du vernis peut intoxiquer, sans parler du nombre insuffisant de lunettes pour protéger les yeux des artistes.
Tout cela n’est pas sérieux monsieur ! C’est comme le bureau du livre dont vous êtes aussi à l’origine : voyez comme il est pitoyable et sans moyen aucun ! Je n’ose m’étaler sur le sujet de peur que vous ne trouviez matière à vengeance en ce qui concerne la charmante demoiselle qui sue sang et eau pour animer la chose et qui n’est en rien à l’origine de mes informations sur le sujet. Il suffit de voir les ateliers fatigués où c’est les artistes qui fournissent les nattes pour comprendre que ça tourne avec beaucoup de mérite mais pas sans le plus chétif nerf de la guerre...
...Là encore qu’importe ! L’essentiel c’est l’idée et les grands mots « bureau du livre » « école d’art plastique » mais en fait au-delà de l’effet d’annonce que voit-on ? De l’exploitation et de l’imposture au seul service du copinage et de quoi mettre un trait de plus dans la rubrique « j’ai fait »
RépondreSupprimerNon cher monsieur ! Pour l’instant, vous n’avez rien fait d’autre que vous assurer à vous et à vos amis de quoi justifier vos salaires sans en mériter le prix.
Voyez la coopération espagnole en la matière. Qu’ont-ils fait eux ? Sont-ils allés dépêcher quelques copains ici et là ? Non ! Ils ont mis en contact par des voyages successifs des artistes plasticiennes mauritaniennes au contact de ce que l’Espagne produit de mieux en terme artistique c’est-à-dire que les artistes plasticiennes, au-delà d’avoir rencontré ici et là-bas des artistes plasticiennes espagnoles confirmées ou en devenir, elles ont aussi pu voir ce que c’est une école destinée à l’excellence et non ce que vous proposez c’est-à-dire livrer les jeunes artistes mauritaniens à un Di Rosa dont l’art très fatigué a fait son temps ailleurs, du temps où vous-même avez sans doute figée votre vision et votre actualité artistique ; voilà aujourd’hui, bien après ce temps archaïque, que vous voulez former les mauritaniens au passé dépassé !
Je vous en prie cher monsieur: non merci ! Les artistes plasticiens mauritaniens n’ont pas attendu votre Di Rosa pour sculpter ni pour peindre, ils peuvent bien enseigner aux plus jeunes l’art de la récup. Ils ont besoin de moyens pour avoir un village des arts à eux ! Ils ont besoin de moyens techniques et de soutien administratif; ils n’ont guère besoin de servir de troupeau à un éleveur dont l’art à lui-même tourné le dos à tout l’héritage que laissèrent les grands maîtres pour n’être plus qu’un art fatigué, dépassé, fruit d’une sorte de bourbouille sur la peau des génies : la fièvre passe, ses stigmates avec, soyez gentil de ne pas contaminer la peau saine de nos artistes avec ce khéssal…
vlane
( version corrigée) merci professeur de me permettre de faire connaître ce modeste blog
RépondreSupprimerpris sur www.chezvlane.blogspot.com
"Lettre à mon ami Claude B
Soyez gentil de retirer mon article " à monsieur Bernard Goldstein à propos de son imposteur" de votre site , ainsi que toutes les archives signées vlane, secretinfo, enattendantlebonheur, acrostiche ect et d'avoir l'amabilité de ne plus rien publier venant de moi.
Cet article que vous venez de mettre en ligne après un tapage sur le net à propos de votre sens, mille fois vérifié, de la censure à géométrie variable en fonction d’obscures raisons quelques fois pratiquement justifiables mais jamais totalement défendables, cette publication venant alors même que vous savez tout ce que j'ai pu dire à propos de cridem version commerciale, cette publication se veut être une sorte de désaveux ou pis une forme d’humiliation or vous savez comme moi que vous ne publiez ensuite ce que vous avez censuré d’abord que lorsque vous savez que le texte a déjà été lu et que cela n’engage plus à rien de censurer surtout lorsque le contenu ne dérange personne sinon votre petit plaisir de faire sentir à qui de droit la toute puissance de votre bon vouloir.
Vous m’avez déjà fait le coup plusieurs fois; la dernière en date c’était au sujet de « merci à monsieur B pour le 4x4 et les millions : article adorable amplement scientifiquement motivé que j’ai écrit à monsieur B en croyant qu’il eût été sensible à la démarche intrépide comme on peut être un ami des lettres tout en restant celui des aveugles et malvoyants mais je me suis trompé, nul n'est parfait et les mendiants sont trop nombreux pour qu'un tel mécène puisse distinguer ceux qui ont du talent de ceux qui n'ont que la main ou le clic c'est selon...
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